mercredi 31 mars 2010

Un agent du FSB monte sur l’estrade d’une Salle du Royaume

Le 28 mars 2010, à Slavgorod (région de l’Altaï), en Russie, un agent du Service fédéral de sécurité de la Fédération de Russie (FSB), S. Lysenko, est monté sur l’estrade d’une Salle du Royaume des Témoins de Jéhovah, dérangeant ainsi toute l’organisation de la réunion en cours. Il a ordonné aux assistants de rester assis et de préparer leurs papiers. Sans prêter attention aux objections claires et polies des croyants, des agents de sécurité ont commencé à filmer les lieux et à prendre des photos. D’après [le procès-verbal de l’opération ?], « le matériel d’importance opérationnelle n’a pas été trouvé. » Par contre, le FSB a confisqué tous les livres liés au culte, soit 1221 copies de 77 ouvrages différents, et ce sans raison. L’opération a duré plus de six heures.

(Via Google Translate. Résumé à partir d’une traduction automatique du russe vers l’anglais et le français pour essayer de saisir au mieux les notions du texte original)

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samedi 27 mars 2010

La Cour suprême de Biélorussie respecte la conscience d’un jeune homme

Gomel, Biélorussie – L’occasion est belle en Biélorussie de mettre en place un service civil alternatif au service militaire, comme prévu dans la Constitution de ce pays.

Le 6 novembre 2009, la Cour du District fédéral central (Tsentralniy) de la ville de Gomel avait déclaré Mr Smyk coupable de violation de la loi sur le devoir militaire. Il avait écopé d’une amende. Le 20 février 2010, toutefois, le Député président de la Cour suprême avait lancé une objection contre ce verdict, disant que les convictions religieuses de la personne n’avaient pas été prises en compte au cours des débats. « Mr Smyk fait partie d’une confession religieuse. Les conclusions de la Cour sont d’une nature subjective. » Résultat : le verdict de la Cour de Gomel a été cassé par la Cour suprême le 15 mars 2010.

L’histoire, pourtant, ne s’arrête pas là. Il est permis d’espérer que l’intervention de la Cour suprême se révélera bénéfique dans le cas particulier de Dmitry Smyk et qu’elle aidera les juristes à jeter un regard neuf sur un éventuel service civil élargi. Il est possible qu’au cours du nouveau jugement, Smyk soit reconnnu, non pas comme une personne qui cherche à se dérober à ses devoirs civiques, mais comme quelqu’un qui demande à ce que ses convictions religieuses soient prises en compte dans le cadre de l’accomplissement de ces mêmes devoirs civiques. Le contexte est favorable à une évolution positive de la situation. Le 18 février, le Président de Biélorussie, Alexandre Loukachenko, a constitué une commission ayant pour tâche de préparer une loi sur le service alternatif.

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vendredi 26 mars 2010

Opérations de police massives contre les croyants de la région de Riazan

Le 24 mars 2010, des descentes de police ont eu lieu simultanément pendant des réunions religieuses des Témoins de Jéhovah à Riazan, à Kassimov et à Novomitchourinsk. Dans chaque cas, une douzaine d’hommes armés ont encerclé les bâtiments, bloquant les issues et prenant note des données des passeports des personnes présentes.

Au moins six maisons de Témoins de Jéhovah ont aussi été perquisitionnées. Ainsi, lorsque Victor Bazvanov a ouvert la porte de son appartement, il s’est retrouvé face au colonel de Police Aksenov, au capitaine Evteshin et à une dizaine d’autres agents. Ils l’ont repoussé à l’intérieur et ont commencé, se référant à « la décision du tribunal », à fouiller les lieux. La perquisition a duré de 22h à 3h15. Des livres, des ordinateurs et des documents ont été emportés, tout comme des journaux personnels et du courrier privé.

(Via Google Translate. Résumé à partir d’une traduction automatique du russe vers l’anglais et le français pour essayer de saisir au mieux les notions du texte original)

[Edit du 27 mars 2010]
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Interruption de réunions religieuses dans la région d’Iekaterinbourg

Novoouralsk, Russie – Le 23 mars 2010, des agents de police munis de caméras vidéo sont entrés dans une pièce où des Témoins de Jéhovah étaient apparemment en train de prier. Quand on leur a demandé de ne pas interrompre la réunion, ils sont sortis, mais en enfermant tout le monde à l’intérieur. Bref, ils ont bouleversé l’organisation du culte. Des passeports semblent avoir été modifiés par les policiers à cette occasion.

Les Témoins de Jéhovah ont récemment connu des problèmes semblables dans les villes d’Asbest et de Kamychlov. Des tribunaux ont été saisis et les affaires sont en attente. Cette situation entre en contradiction avec la décision du 11 janvier 2007 de la Cour européenne des Droits de l’Homme, qui avait condamné les actions de vandalisme commises au cours d’une réunion des Témoins de Jéhovah dans la ville voisine de Tcheliabinsk.

(Via Google Translate. Résumé à partir d’une traduction automatique du russe vers l’anglais et le français pour essayer de saisir au mieux les notions du texte original)

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Russie : Qui a lancé les campagnes dirigées contre les Témoins de Jéhovah et les adhérents à la théologie de Nursi ?

Malgré plusieurs enquêtes, Forum 18 News Service n’a pas pu découvrir quelle agence gouvernementale russe ou quelle personne a lancé les campagnes dirigées contre les Témoins de Jéhovah et contre les lecteurs des écrits du théologien turc Said Nursi, ni en connaître la raison. Un agent du Ministre de l’Intérieur qui n’a pas donné son nom a expliqué à Forum 18 que « la Police ne décide pas seule de ce genre de choses. L’ordre doit venir de quelqu’un d’extérieur, peut-être d’un procureur. La Police ne fait que suivre les ordres qui lui sont donnés. » L’agent a insisté sur le fait que les actions prises contre les Témoins de Jéhovah sont « centralisées », mais n’a pas voulu donner son avis sur quelle(s) agence(s) en est (sont) à l’origine. Il a mis fin à l’appel avant que les questions concernant les lecteurs de Nursi ne lui soient posées.

De son côté, Aleksandr Kudryavtsev, du Conseil présidentiel pour la Coopération avec les Organisations religieuses, rejette l’idée d’une campagne « centralisée ».

Les Témoins de Jéhovah, quant à eux, rapportent le nombre grandissant de détentions de courte durée qu’ils subissent.

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jeudi 25 mars 2010

Le ‘droit de garder le silence’

38 Témoins de Jéhovah ont été interrogés en Russie. On leur a demandé de divulguer des informations sur la religion et les habitudes de vie de leurs connaissances. Les Témoins ont refusé et sont en conséquence accusés de rétention d'information. Un policier mentionne cependant leur 'droit de garder le silence'.

(A partir d'une traduction automatique de Google Translate, du russe vers l'anglais)

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En Russie, la Police confisque de la littérature religieuse jusque dans les maisons des croyants

Tambov, Russie – « Quand la police est arrivée chez nous tôt dans la matinée, j’ai soudainement compris que mes craintes par rapport à ma liberté et au bien-être de mes enfants étaient justifiées ». Larisa Cheprunova a été secouée quand son logis a été perquisitionné. « Nous avons toujours respecté les autorités, et pourtant, les agents nous ont traités comme des criminels ; ils s’exprimaient brutalement, ils ont emporté nos possessions et nos publications, et ils ont effrayé nos enfants ! »

Le 17 mars 2010, à environ 7h du matin, trois groupes de policiers sont arrivés simultanément devant trois maisons occupées par des familles de Témoins de Jéhovah vivant dans la ville de Tambov. Les habitants ont été réveillés par les policiers munis de mandats. Ils étaient venus pour fouiller les lieux. Ils ont confisqué les bibliothèques personnelles, emportant des publications bibliques mais aussi des documents commerciaux, des ordinateurs, des données électroniques, et même des albums photos de famille et de la correspondance privée. Tout ceci est arrivé peu de temps après une mise à jour de la Liste fédérale des écrits extrémistes, à laquelle de nouvelles publications des Témoins de Jéhovah ont été ajoutées.

Les mandats ont été délivrés sur base d’une affaire réglée à l’aide de l’Article 282 du Code pénal de la Fédération russe : « Incitation à la haine ou à l’hostilité et dévalorisation de la dignité humaine ». Une décision autorisant les perquisitions a été prise par le Juge Lyudmila Ryazantseva de la Cour du district de Leninsky, en réponse à une motion déposée par le Rapporteur Igor Avdeyev. D’après le texte, les policiers sont à même de « confisquer des objets, de la littérature, des médias électroniques encourageant la haine religieuse […] et d’autres documents rapportant l’activité de l’organisation religieuse. »

Pendant les perquisitions, les propriétaires n’ont pas été informés de leurs droits, n’ont pas reçu de copie du mandat et n’ont pas été autorisés à appeler leurs avocats. Certains n’ont pas pu utiliser leurs téléphones. Chez les Cheprunov, les voix fortes des agents ont effrayé la petite fille de la famille. Elle a commencé à pleurer et à implorer les policiers de ne pas emmener ses parents loin d’elle. Chez les Tagayev, la Police a confisqué une copie du Nouveau Testament éditée à Moscou en 1988, ainsi que d’autres publications des Témoins de Jéhovah.

Vasily Kalin, président du Centre administratif des Témoins de Jéhovah de Russie, qui a connu l’époque de la répression en Russie et qui a personnellement fait l’expérience de la persécution religieuse, a déclaré : « Ce qui est arrivé à Tambov nous rappelle les épisodes difficiles du passé, où les Témoins de Jéhovah étaient spoliés et poursuivis en justice sur base de rapports diffamatoires et de fausses accusations, bref sur aucune donnée tangible. A cette époque, le KGB arrivait tard dans la nuit ou tôt le matin, fouillait les maisons et emportait les publications religieuses et les possessions des Témoins. Ce qui se passe aujourd’hui y ressemble fort et fait particulièrement penser à l’année 1951, où ces actions se sont déroulées sur une large échelle et ont en fin de compte provoqué la déportation de milliers de Témoins de Jéhovah en Sibérie. »

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mercredi 24 mars 2010

Le procureur de Taganrog interroge un dirigeant des Témoins de Jéhovah

Le procureur adjoint de la ville de Taganrog, en Russie (région de Rostov), a interrogé l’ancien dirigeant de la congrégation locale des Témoins de Jéhovah, ce qui fait craindre de nouvelles persécutions envers les membres de cette confession. C’est ce qui ressort d’un rapport daté du 17 mars 2010 publié en ligne sur le site d’actualités Kavkavsky Uzel. Le nom du Témoin est Nikolai Trotsyuk, il était responsable de la congrégation locale avant que celle-ci, jugée « extrémiste » par cour régionale, ne soit dissoute. La raison de la convocation de Mr Trotsyuk est qu’il continue d’organiser des réunions cultuelles avec ses coreligionnaires. Le procureur l’a menacé de l’accuser de « direction d’organisation dissoute », ce qui pourrait lui valoir trois ans de prison.

De son côté, l’avocat de Mr Trotsyuk affirme que la Constitution garantit toujours le droit de son client à exprimer ses convictions religieuses, seul ou avec d’autres.

Fin 2009, un tribunal de Taganrog avait condamné les Témoins de Jéhovah, qui ont été qualifiés d’organisation extrémiste, ouvrant la voie à une vague de persécution en Russie.

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mardi 23 mars 2010

Cours culturels orthodoxes et Témoins de Jéhovah

En Russie, les Témoins de Jéhovah ont reçu une lettre d’Anya Bazarova, étudiante. Elle y explique que pendant des cours de culture orthodoxe, on a montré à ses camarades un film sur les Témoins de Jéhovah. Ce documentaire donnait clairement à penser que les Témoins tuent les gens. « Et tu crois que c’est vrai ? », a-t-elle demandé. Une seule élève a répondu qu’elle ne croyait pas à ces affirmations ; elle avait en effet étudié la Bible avec sa grand-mère et connaissait les Témoins de Jéhovah.

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PS : Post rédigé à partir d'une traduction automatique de Google Translate (russe).

vendredi 19 mars 2010

Les Témoins de Jéhovah accusés d’extrémisme à Tambov

Des poursuites pénales ont été lancées contre la propagation de publications des Témoins de Jéhovah dans la région de Tambov, en Russie, rapporte le service de presse du Procureur régional. Apparemment, des Témoins ont distribué des copies du livre « Qu’enseigne réellement la Bible ? » et des brochures « Devrions-nous croire à la Trinité ? » et « Jésus Christ est-il le Dieu Tout-Puissant ? ». Ces documents ont été jugés ‘extrémistes’ par la Cour régionale de Rostov et par le collegium de la Cour suprême. En conséquence, ils ont été ajoutés à la Liste fédérale russe des écrits extrémistes.

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jeudi 18 mars 2010

Turquie : L’objection de conscience à l’épreuve de la liberté de religion turque

Les objecteurs de conscience font toujours face à des poursuites judiciaires en Turquie. Parmi eux, on retrouve les Témoins de Jéhovah. Ne pas être musulman n’est pas de bon ton sous ce rapport, comme constaté dans le cas de jeunes hommes Témoins de Jéhovah, qui ont été maltraités et persécutés réguilèrement ces dernières années parce qu’ils refusent d’accomplir leur service militaire sur base de convictions religieuses. 119 objecteurs de conscience ont été dénombrés. 30 d’entre eux sont Témoins de Jéhovah.

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mercredi 17 mars 2010

La police enquête sur des cambriolages dans des églises d’Edmond

A un jour d’intervalle, deux lieux de culte de la ville d’Edmond, dans l’Oklahoma aux Etats-Unis, ont été cambriolés. Il s’agit de la Faith Bible Church, qui a perdu pour 2500 € environ de matériel électronique, et de la Salle du Royaume des Témoins de Jéhovah. Les Témoins ne déplorent la perte que de quelques objets de décoration.

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Fouilles de domiciles en Russie

Des domiciles de Témoins de Jéhovah ont été perquisitionnés aujourd'hui, tôt dans la matinée. Les policiers étaient pourvus de mandats. Ils étaient à la recherche de littérature ou de médias "incitant à la haine religieuse". En conséquence, des ordinateurs, du courrier personnel et même des albums photos ont été saisis. Les Témoins n'ont pas pu faire appel à un avocat et certains n'ont pas pu utiliser leur téléphone. (Résumé à partir d'une traduction automatique du site officiel jw-russia. Merci Google.)

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[Edit du 23 mars 2010]
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mardi 16 mars 2010

Russie : La police ignorante des questions religieuses

En s’en prenant aux églises évangéliques et aux Témoins de Jéhovah, la Police russe continue à saper la liberté religieuse au nom de la sécurité nationale et de la lutte contre l’extrémisme. Dans le cas des Témoins de Jéhovah, la lutte contre l’extrémisme se mue en persécution ouverte. Le dernier épisode en date de cet acharnement a eu lieu vendredi passé avec l’arrestation de Yuri Gusev, coupable d’avoir eu des publications jugées extrémistes dans sa voiture. Décrits comme une secte « hostile aux autres Eglises », les Témoins de Jéhovah sont actuellement systématiquement harcelés dans plusieurs régions de Russie. Les autorités sont probablement excédées par leur refus du service militaire et de prendre les armes, leur rejet des transfusions sanguines, et par leur dévouement à la communauté.

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Des Ecossais se rapprochent du Saint-Graal médical : un substitut sanguin

Des chercheurs écossais ont entamé un programme de recherche visant à élaborer du sang artificiel. Ces derniers temps, une sorte de 'course au substitut sanguin idéal' semble s'être mise en place. Lire l'article en anglais.

Lire l'article en anglais
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Un nouveau système pour éviter de grossses pertes sanguines

Des chercheurs de la Carnegie Mellon University sont occupés à mettre au point un appareil médical permettant de réguler la quantité de sang qui afflue vers une région du corps donnée, ce qui permettrait d'éviter de grosses pertes sanguines au cours d'opérations de chirurgie.

Lire l'article en anglais.

La chirurgie sans transfusion, une pratique en augmentation

La médecine et la chirurgie sans transfusion ont commené à se développer dans les années 60, quand le Dr Denton Cooley, un chirurgien américain pionnier en matière de cardiologie et diplômé de l’Université du Texas, a réalisé la première opération du cœur sans transfusion, en 1962. Il a continué dans cette voie, pratiquant des opérations complexes, tant sur des enfants que sur des adultes, en chirurgie cardiaque et vasculaire. Pour lui, les risques de ces opérations n’étaient pas plus élevés que si du sang avait été employé.

L’utilisation de transfusions sanguines en médecine remonte à la Deuxième Guerre mondiale. Pourtant, il y a toujours eu des risques associés à cette pratique. Citons la transmission de l’hépatite C ou du sida, deux germes potentiellement mortels. Le taux d’infection via transfusion aux Etats-Unis est de 1 pour 900, ce qui nous amène au chiffre de 900 contaminations par an. Par conséquent, même si les Etats-Unis sont l’un des pays les plus sûrs en matière de réserve sanguine, le risque d’infection y reste fort.

Les taux de mortalité et d’infection sont moins élevés en cas de pratique non transfusionnelle. D’après des statistiques :
• L’emploi de transfusions sanguines multiplie par deux le risque d’infection des patients subissant un pontage coronarien.
• Ces mêmes patients risquent de 3 à 6 fois plus de mourir dans le mois qui suit l’opération.
• Une étude couvrant la période 1996-2003 a montré que les patients transfusés risquent trois fois plus de mourir dans l’année qui suit leur opération.

En conséquence, la médecine sans transfusion a fait des progrès notables depuis le Dr Cooley. L’association No Blood est aujourd’hui à même de lister au moins 30 centres médicaux américains de première importance qui n’emploient pas de sang. Ces centres respectent de hauts critères de qualité, et cinq d’entre eux se situent dans la seule région du New Jersey. Mais la tendance s’internationalise : des centres médicaux n’utilisant pas la transfusion ouvrent leurs portes dans des lieux aussi variés que Hong Kong, l’Afrique du Sud, le Canada, l’Arabie Saoudite, à Mumbai en Inde ou encore à São Paulo au Brésil. 116 sites situés aux quatre coins de la planète sont recensés par No Blood.

On a aussi récemment parlé dans l’actualité de l’Englewood Hospital and Medical Center d’Englewood, dans le New Jersey, qui reçu des fonds fédéraux pour continuer à développer ses projets de médecine sans transfusion .

Les considérations menant à la médecine sans transfusion ne sont pas seulement liées aux risques ou à la crainte d’une diminution des stocks disponibles, mais aussi au facteur économique, comme le déclarent les Dr A. Shander, A. Hofmann, H. Gombotz, O.M. Theusinger et D.R. Spahn, d’Englewood.

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vendredi 12 mars 2010

La distribution de littérature religieuse est considérée comme un crime en Azerbaïdjan

En Azerbaïdjan, le 3 mars 2010, la famille Nasirov et Amina Mammadova, tous Témoins de Jéhovah, ont été arrêtés par la police et emmenés au poste alors qu’ils partageaient des pensées bibliques positives avec leurs voisins. On leur a confisqué toutes leurs publications religieuses et leurs bibles. La police les a accusés de diffusion de littérature religieuse non autorisée par le Comité d’Etat pour la Collaboration avec les Associations religieuses, alors que tous les documents en question ont bien reçu cette autorisation. Les Témoins ont été astreints à une amende d’environ 180 euros chacun, ce qui correspond à 70% d’un revenu mensuel moyen en Azerbaïdjan. Ils ont fait appel. L’Azerbaïdjan est un pays signataire de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales, et à ce titre il devrait considérer la diffusion de publications religieuses comme une liberté fondamentale.

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Plus de 50 Témoins de Jéhovah arrêtés en Russie pour avoir pris part à une protestation publique

Fin février et début mars, 50 Témoins de Jéhovah ont été arrêtés par la police pour avoir participé à une campagne de distribution de tracts. Ces documents expliquent comment leur communauté est persécutée, déclarée ‘extrémiste’ et criminelle (à cause de son refus du service militaire, et ce même si la Constitution russe garantit l’accès à un service civil alternatif). 150 000 volontaires ont diffusé ces tracts dans les rues de Moscou, de Rostov, de Sverdlovsk, de Nizhny Novgorod, d’Omsk, de Krasnodar et de Volgograd. Pour Lev Levinson, directeur de l’Institut des Droits de l’Homme, la persécution dont les Témoins sont l’objet a pour origine une interprétation tronquée des lois contre l’extrémisme. Les Témoins arrêtés ont été interrogés, leurs réserves de tracts ont été saisies. La plupart ont été relâchés quelques heures plus tard.

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mercredi 10 mars 2010

Les Témoins de Jéhovah offrent une instruction biblique en anglais gratuite à Saint-Domingue

Suivez le lien pour lire le reportage du Dominican Today.

Les confiscations de biens religieux ont commencé en Russie

Taganrog, Russie – Le 1er mars 2010, des policiers ont posé des scellés sur la Salle du Royaume des Témoins de Jéhovah de la ville de Taganrog, en Russie, dans la région de Rostov.

La confiscation du bâtiment faisait partie des demandes du procureur dans le cadre des procédures judiciaires visant la mise en liquidation de l’Organisation religieuse locale des Témoins de Jéhovah de Taganrog. La Salle a été construite en 2006 par les Témoins de l’endroit. Tant les coûts de construction que d’utilisation ont été pris en charge grâce à leurs offrandes volontaires. Depuis lors, il a servi de centre d’étude de la Bible et de services religieux gratuits et ouverts au public.

Coïncidence ? Les officiers ont procédé à la confiscation de l’édifice le jour suivant la fin de la campagne de distribution par les Témoins de Jéhovah du tract « Could It Happen Again? A Question for the Citizens of Russia » . 12 millions de copies de ce document ont été diffusées. Il contenait entre autres des extraits d’un discours du Président russe condamnant la violation des droits de l’homme et la restriction de la liberté de religion ayant déjà eu lieu en Russie.

C’est la première fois dans l’histoire de la Russie démocratique qu’un bâtiment religieux des Témoins de Jéhovah est confisqué. 60 ans plus tôt, des maisons et des propriétés de milliers de Témoins ont été saisies, et les Témoins eux-mêmes étaient exilés en Sibérie « pour résidence permanente ». Plus de dix ans après, un Ordre du Conseil suprême de l’URSS daté du 30 septembre 1965 les a libérés, et l’Ordre du Président de la République fédérale daté du 14 mars 1996 les a complètement blanchis, les déclarant victimes de répression politique.

« Sous le régime soviétique », déclare Vasily Kalin, Président du centre administratif des Témoins de Jéhovah, « les Témoins de Jéhovah ont été bannis de la vie publique et contraints à la clandestinité. On a alors affirmé qu’ils étaient de sombres sectaires qui avaient choisi de vivre en marge de la société. La situation actuelle n’est pas sans ressemblance. Alors que les propriétés des Témoins sont confisquées sous prétexte de lutter contre l’extrémisme, celles d’autres mouvements religieux leur sont rendues. »

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lundi 8 mars 2010

La liste fédérale russe des écrits extrémistes

La liste fédérale russe des écrits extrémistes n'est pas exempte de critiques...

Russie : Confiscation illégale de littérature religieuse

Forum 18 note que des publications religieuses sont souvent confisquées de façon illégale en Russie. Les deux groupes concernés sont les Témoins de Jéhovah et un groupe religieux lié au théologien musulman Said Nursi. Dans la plupart des cas, aucune trace légale des actions n’est conservée, aucune enquête n’est menée et la justice ne cherche pas à définir si la possession des écrits incriminés est ou non un délit. Vladimir Ryakhovsky, du Centre slave pour la Loi et la Justice, et Sergei Sychev, du Bureau d’avocats Sychevs and Advocates, ont tous les deux déclaré à Forum 18 que de telles actions sont illégales. Ils ont été consultés séparément. Pour pouvoir détenir plus longtemps les publications, les autorités doivent mener une enquête qui peut mener soit à des procédures administratives ou pénales, soit à la relaxe des documents. Ces événements surviennent après que 34 écrits des Témoins de Jéhovah aient été déclarés ‘extrémistes’ et portés sur la Liste fédérale des écrits extrémistes. La distribution ou le stockage en prévision de la distribution sont passibles de quatre ans de prison. Forum 18 n’a pas pu découvrir ce qui arrive aux publications confisquées.

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Les efforts d’aide des Témoins de Jéhovah à Haïti soulignent une unité internationale

Quand une Haïtienne a commencé à étudier la Bible avec une Témoin de Jéhovah, elle ne se doutait pas que cela allait littéralement lui sauver la vie. En effet, les témoignages sont concordants : le 12 janvier, quand le tremblement de terre a frappé l’île, son enseignante s’est jetée sur elle pour la protéger des projectiles meurtriers, donnant sa vie pour elle.

En coopération avec les autorités locales, les Témoins ont rapidement acheminé de l’aide sur les lieux de la catastrophe. Ils étaient parmi les premiers sur les lieux, et ils n’arrivaient pas les mains vides. Un groupe de 19 chirurgiens est arrivé dans les 24 heures après le tremblement de terre. Ils ont courageusement commencé à soigner les blessés, travaillant jusqu’à 20 heures par jour dans des conditions primitives. Des Témoins en provenance du monde entier sont progressivement arrivés par la suite, comprenant du personnel médical. 55 opérations chirurgicales d’urgence ont été réalisées sur place.

Le hall d’assemblée des Témoins de Jéhovah de Santo ainsi que trois de leurs Salles du Royaume, intacts, ont servi de centres médicaux gérés par les Témoins haïtiens médecins. Des équipes médicales sont arrivées de Suisse, d’Allemagne, de France, de Guadeloupe, des Etats-Unis et d’ailleurs, soignant des centaines de personnes, tant les Témoins de Jéhovah que les autres. Personne n’était abandonné à son sort. Cette aide s’est révélée inestimable, car plusieurs hôpitaux ayant été détruits, ceux qui restaient se sont vite retrouvés débordés.

Des volontaires ont transporté les personnes dans un état critique vers des hôpitaux de République dominicaine. La plupart d’entre eux ont pu être sauvés. Wesley, un garçon resté orphelin, a dû être amputé d’une jambe. Il souffre encore de blessures physiques et reste marqué par le drame, mais son visage s’éclaire lorsque ses amis Témoins des Etats-Unis ou du Canada viennent le voir.

Les Témoins de Jéhovah ont également fourni un soutien spirituel, en proposant aux gens de leur expliquer pourquoi de tels événements se produisent.

Interrogés sur leur état d’esprit, Neil et Rebecca Collingbourne, qui ont apporté leur soutien aux victimes, ont répondu en citant Jésus : « Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir. »

Les 5000 Témoins laissés sans toit pourront bientôt profiter de logements temporaires construits à leur intention.

Tout ce soutien est coordonné par le Collège central des Témoins de Jéhovah à Brooklyn, avec l’assistance de la filiale de République dominicaine. Il est rendu possible par les dons anonymes de la communauté internationale des Témoins de Jéhovah.

Bien que ces événementns aient apporté une lumière nouvelle sur les activités des Témoins de Jéhovah, cela fait 80 ans qu’ils fournissent une instruction biblique à Haïti. La prochaine fois qu’ils viendront proposer une étude de la Bible gratuite, nous devrions peut-être nous demander : « Comment cette organisation pourrait-elle me sauver la vie ? »

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dimanche 7 mars 2010

Refus de transfusions sanguines : appels en faveur d’une nouvelle approche

Une conférence tenue au Coombe Women and Infants’ University Hospital de Dublin, en Irlande, a mis l’accent sur l’importance d’établir une plus grande cohérence de l’approche des hôpitaux par rapport à la gestion des patients qui refusent la transfusion sanguine.

Belinda Slator, Témoin de Jéhovah, a expliqué que ses coreligionnaires sont souvent regardés avec étonnement par le personnel médical lorsqu’ils déclarent ne pas souhaiter être transfusés, du fait de leur religion. « On entend tout le temps des phrases du style ‘Vous voulez dire que vous préféreriez mourir, en fait ?’ ou ‘Vous laisseriez mourir votre enfant ?’ Ces questions reviennent encore et encore. »

Mme Slator a poursuivi en disant que les Témoins de Jéhovah étaient considérés comme des gens qui pratiquent le ‘lavage de cerveau’. Cette réflexion est compréhensible quand elle est faite par des personnes du public, peu informé sur cette religion, « mais que quelqu’un du corps médical ait ce genre d’opinion, voilà qui est incroyable, car eux ont accès à des informations plus précises. »

Elle-même a trois enfants, dont un nouveau-né, et n’a connu qu’une seule expérience de ce genre à l’hôpital. « Quand une infirmière a appris mes convictions, elle est devenue très distante et ne m’a plus jamais regardé droit dans les yeux. »

Mme Slator a confié cela après avoir donné la conférence organisée pour discuter du besoin d’établir des recommandations nationales dans les domaines de l’obstétrique et de la gynécologie.

Le Dr Deirdre Madden a déclaré que les lois ont claires : tout refus d’un traitement médical de la part d’un adulte responsable doit être respecté. Elle aussi a plaidé en faveur de recommandations nationales dans ce domaine. « Quand c’est possible, l’administration de l’hôpital, les cliniciens et les patients devraient avoir à l’avance une discussion ouverte sur l’utilisation adéquate d’alternatives aux produits sanguins, ainsi que des niveaux de risque et d’implication des personnes », a-t-elle dit.

Mark O’Malley, Témoin de Jéhovah coordinateur de comités de liaisons hospitaliers, a expliqué qu’avoir ce genre de conversation entre patients et médecins avant l’opération est crucial pour éviter tout conflit par après. Il a souligné que si les Témoins ne souhaitent pas recevoir de sang allogène ou d’un de ses quatre composants majeurs, toute autre décision est du ressort de la personne elle-même.

La conférence a abordé les problèmes qui se posent au personnel médical quand, dans un couple, le mari et la femme ne partagent pas les mêmes convictions religieuses. Selon le Dr Madden, dans le cas où une femme enceinte est Témoin de Jéhovah mais pas son mari, c’est elle qui décide en dernier lieu du traitement médical employé dans son cas.

Pour le Pr John Bonnar, obstétricien et gynécologiste consultant, il peu arriver que des patients subissent une pression de la part des dirigeants religieux de façon à refuser un traitement. Quant au professeur d’obstétrique Deirdre Murphy, il explique que le personnel peut se sentir mal à l’aise lorsque des membres des comités de liaison hospitaliers viennent à l’hôpital, leur impression étant que ces derniers viennent mettre la pression au patient.

Mr O’Malley a donc expliqué que les membres de ces comités ne se rendent à l’hôpital qu’à la demande du patient, et qu’ils ne prennent jamais de décision à sa place. C’est que le patient a quelquefois besoin d’un soutien spirituel.

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mercredi 3 mars 2010

Objecteurs de conscience en République d’Arménie en mars 2010

71 Témoins de Jéhovah sont actuellement emprisonnés en Arménie pour refus du service militaire pour raisons religieuses. Tous ont été jugés et condamnés ; aucun n’est en situation de détention préventive. Leurs peines varient de 24 à 35 mois. Voici leurs noms :

Nshan Gevorgyan, Hayk Madatyan, Gor Kirakosyan, Mkrtich Smbatyan, Stepan Hovakimyan, Babken Shahinyan, Roman Hovhannisyan, Garik Gevorgyan, Samson Indzigulyan, Harutyun Vardazaryan, Araz Arshakyan, Armen Mardoyan, Hamayak Eminyan, Davit Petrosyan, Martun Hovsepyan, Zhirayr Karyan, Arman Kareyan, Ashot Simonyan, Hovhannes Stepanyan, Karo Aleksanyan, Vahe Ananyan, Karen Voskanyan, Vahram Baghramyan, Alik Balayan, Mkhitar Sargsyan, Tigran Melikyan, Shahen Asatryan, Gevorg Danughyan, Gor Petrosyan, Mher Barseghyan, Vardan Kasemyan, Garegin Gogjyan, Armen Martirosyan, Gagik Shakaryan, Grisha Ohanjanyan, David Parsadanyan, Samvel Shkoyan, David Mnatsakanyan, Vigen Sargsyan, Levon Bashberukyan, Nver Nazaryan, Tatul Arsenyan, Vladimir Sargsyan, Gevorg Karapetyan, Hovsep Mutafyan, Mher Hayrapetyan, Gagik Toplakhaltsyan, Harutyun Gagyan, Hayk Avagyan, Gor Aslanyan, Sergey Manukyan, Aram Apresyan, Kamo Sahakyan, Ishkhan Grigoryan, Arkadi Mardoyan, Vanik Soghomonyan, Grigor Safaryan, Lyudvik Arshakyan, Raphael Manukyan, Karapet Aghadjanyan, Hakob Babudjyan, Artak Kroyan, Vahram Grigoryan, Gevork Sargsyan, Roman Minasyan, Andranik Martirosyan, Hayk Ghazaryan, Spartak Khanumyan, Vardan Vardanyan, Hovhannes Kasemyan, Levon Vardanyan.

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mardi 2 mars 2010

Documentaire vu à la TV italienne

Suivez le lien pour voir ce documentaire sous-titré en français.

lundi 1 mars 2010

Les Témoins de Jéhovah enregistrés en Serbie

Belgrade, Serbie – Le Ministre serbe des Affaires religieuses a accepté la demande de la « Communauté religieuse des Chrétiens Témoins de Jéhovah » en les ajoutant au Registre des Eglises et des Communautés religieuses. L’enregistrement a pris effet le 8 février 2010.

Les Témoins de Jéhovah sont reconnus légalement comme une église ou une communauté religieuse dans tous les pays qui entourent la Serbie et par tous les pays membres de l’Union européenne. La Serbie a rempli une demande officielle d’adhésion à l’Union européenne. En prenant la décision d’enregistrer les Témoins de Jéhovah au Registre des Eglises et des Communautés religieuses, le Ministre serbe aux Affaires religieuses a reconnu l’existence et les activités des Témoins de Jéhovah de Serbie.

Les Témoins ne sont pas des nouveaux venus dans la région. Déjà au début des années 1920, on trouvait des Etudiants de la Bible (actuellement appelés Témoins de Jéhovah) dans le Royaume des Serbes, Croates et Slovènes. Ils y pratiquaient leur foi dans plusieurs villes et ont été reconnus par le Ministre de l’Intérieur le 9 septembre 1930. En 1953, ils ont été enregistrés en Yougoslavie comme communauté religieuse chrétienne.

Actuellement, les Témoins de Jéhovah constituent une communauté chrétienne internationale comptant plus de 7 300 000 membres actifs dans 236 pays et territoires. Chaque mois, 37 252 000 exemplaires de leur magazine La Tour de Garde sont imprimés, afin d’être distribués pour un total de 176 langues.

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