Mumbai : Gabriel Kabilar est un habitant de Dombivili. Il est employé aux chemins de fer. Il a 59 ans et avait eu des problèmes cardiaques par le passé. En février de cette année, ses vaisseaux coronariens étaient obstrués à 90%. Les chirurgiens de Madurai et de Kalyan appelaient son coeur une « bombe à retardement », conseillant d’opérer le plus vite possible.
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Kabilar est Témoin de Jéhovah. En conséquence, Kabilar était contre l’idée de recevoir une transfusion sanguine au cours de son opération. « Ma religion rejette l’usage [médical] du sang. Et si la seule autre issue possible était la mort, eh bien, ma décision serait prise », a-t-il expliqué, approuvé par sa femme de 40 ans. Ils se sont mariés l’an passé. Heureusement pour Kabilar, la science est venue à sa rescousse. Le 8 avril, des médecins de l’hôpital de Wockhardt ont réalisé une chirurgie sans arrêter le coeur1, ce qui allait aider à éviter toute perte sanguine.
Kabilar est Témoin de Jéhovah. En conséquence, Kabilar était contre l’idée de recevoir une transfusion sanguine au cours de son opération. « Ma religion rejette l’usage [médical] du sang. Et si la seule autre issue possible était la mort, eh bien, ma décision serait prise », a-t-il expliqué, approuvé par sa femme de 40 ans. Ils se sont mariés l’an passé. Heureusement pour Kabilar, la science est venue à sa rescousse. Le 8 avril, des médecins de l’hôpital de Wockhardt ont réalisé une chirurgie sans arrêter le coeur1, ce qui allait aider à éviter toute perte sanguine.
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En général, les médecins emploient un circuit extracorporel qui détourne une partie du sang vers un appareil cardio-pulmonaire. Le sang entre dans une machine qui fonctionne comme un coeur artificiel, pompant et purifiant le sang avant de le renvoyer. Cependant, cette technique implique des risques de pertes sanguines, explique le Dr Ajay Chaughule, chirurgien cardiovasculaire de l’hôpital de Wockhardt.
En général, les médecins emploient un circuit extracorporel qui détourne une partie du sang vers un appareil cardio-pulmonaire. Le sang entre dans une machine qui fonctionne comme un coeur artificiel, pompant et purifiant le sang avant de le renvoyer. Cependant, cette technique implique des risques de pertes sanguines, explique le Dr Ajay Chaughule, chirurgien cardiovasculaire de l’hôpital de Wockhardt.
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« Nous avons réalisé une greffe de contournement de l’artère coronaire tout en laissant le coeur continuer à battre, ce qui a eu comme résultat de ne pas perdre une seule goutte de sang », précise-til. Kabilar avait subi plusieurs attaques cardiaques graves, en 1986 et en 2006. La capacité de pompage de son coeur n’était plus que de 20%. Il avait perdu trop de poids et souffrait de diabète.
« Nous avons réalisé une greffe de contournement de l’artère coronaire tout en laissant le coeur continuer à battre, ce qui a eu comme résultat de ne pas perdre une seule goutte de sang », précise-til. Kabilar avait subi plusieurs attaques cardiaques graves, en 1986 et en 2006. La capacité de pompage de son coeur n’était plus que de 20%. Il avait perdu trop de poids et souffrait de diabète.
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Heureusement, la technique consistant à laisser le coeur continuer à battre a fonctionné. Kabilar a pu quitter [l’hôpital ou les soins intensifs] 2 trois jours après son opération. Depuis, il a repris 6 kilos. Revigoré, il prévoit aujourd’hui d’avoir un enfant.
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