Jérusalem: d'anciennes fortifications appuieraient les récits bibliques

D'anciennes fortifications récemment mises au jour à Jérusalem datent de l'époque du roi Salomon, il y a 3.000 ans, et apportent du crédit aux récits bibliques concernant cette époque, a affirmé lundi l'archéologue israélienne Eilat Mazar. Cela suggérerait que Jérusalem était le siège d'un gouvernement central fort qui disposait des ressources et de la main-d'oeuvre nécessaires pour construire d'imposantes constructions. S'exprimant devant des journalistes sur les lieux des fouilles, Eilat Mazar, de l'Université hébraïque de Jérusalem, a estimé que les fortifications mises au jour étaient les "constructions les plus significatives dont nous disposions" de la période "du Premier temple en Israël". "Cela signifie qu'à cette époque, le Xe siècle (avant Jésus-Christ), il y avait à Jérusalem un régime capable de réaliser de telles constructions", a-t-elle ajouté. Sur la base de l'emplacement des fortifications et de l'époque à laquelle elles ont été, selon elle, édifiées, Eilat Mazar a suggéré qu'elles dataient du règne de Salomon, fils de David, et qu'elles étaient mentionnées dans le Livre des Rois de l'Ancien Testament.

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Série d’attaques contre les Témoins de Jéhovah

Suite à l’action du gouvernement russe à l’encontre des Témoins de Jéhovah ces derniers mois, les membres de ce mouvement ont subi une série d’attaques directes, d’après le Sova Information-Analytical Center. Ainsi, le 11 décembre, deux Témoins ont été chassés d’un immeuble par un homme brandissant apparemment un pistolet. Le 17 décembre, à Tcheliabinsk, un Témoin a été passé à tabac après découverte de son affiliation religieuse, et deux autres ont été agressés alors qu’ils distribuaient de la littérature religieuse à Rybinsk. Enfin, le 22 décembre, à Novorossiysk, un jeune déclarant être agent de police s’en est pris à deux Témoins de Jéhovah qui prêchaient dans la rue. Il a envoyé un coup de poing à l’un d’entre eux (en l’occurrence une femme) et l’a frappée alors qu’elle était à terre. Il semblerait qu’il soit aussi parti avec un de leurs portefeuilles. Le rapport du Sova Information-Analytical Center ne mentionne aucune détention de suspect par la police dans le cadre de ces affaires.

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