mardi 11 août 2009

Objecteurs de conscience en République d’Arménie en août 2009

Actuellement, 74 Témoins de Jéhovah sont en prison en Arménie pour avoir refusé de prendre les armes à cause de leurs croyances. Ils ont tous été jugés et condamnés ; aucun n’est en attente de jugement.

Les condamnations ont commencé en 2006 et il s’en produit encore de nouvelles cette année. Les peines varient de 24 à 30 mois. Tous les Témoins ont été condamnés sur base de l’article 327 § 1, qui déclare :

« Toute tentative de se dérober au service militaire ou au service alternatif de recrutement de soldats, aux exercices d’entraînement, à la mobilisation, pour autant que cette tentative n’entre pas dans un cas d’exception fixé par la loi de la République d’Arménie, sera punie par mise aux arrêts pour une période maximale de deux mois, ou par une peine de prison de maximum trois ans. »
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Réfutation en règle des dernières allégations de M. Fenech

Réfutation de l'équipe du blog "Les faits sur les Témoins de Jéhovah face à la désinformation".

Les Témoins de Jéhovah éclipsent U2

Y a-t-il des fans de U2 par ici ?
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Eh bien, figurez-vous que le groupe projetait un concert en Autriche. Pour ne pas faire les choses à moitié, il voulait le plus grand stade du pays. Pas de chance... Ce stade était déjà pris...
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Un patient infecté par le VIH poursuit en justice son hôpital

Le patient, dont l'identité n'a pas été révélée, et sa famille ont réclamé devant un tribunal local 164.000 euros de dédommagements, a indiqué le journal, citant la plainte déposée par leur avocat, Josip Madjaric.

Le plaignant affirme avoir été infecté par le VIH par une transfusion sanguine alors qu'il subissait, en octobre 2003, une intervention chirurgicale dans l'hôpital Rebro, le plus grand établissement hospitalier du pays.

D'après lui, alors qu'un test sanguin effectué après l'opération signalait déjà la présence du virus, l'hôpital a refusé de l'en informer.

La directrice de l'Institut, Irena Jukic, a déclaré que le patient avait été infecté par le sang d'un donneur "régulier", lui-même infecté peu avant le don de sang.

"Il s'agissait d'une (courte) période pendant laquelle on ne pouvait pas découvrir que le donneur avait été infecté", a-t-elle expliqué à un autre quotidien, Jutarnji List.