dimanche 25 octobre 2009

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Cargaisons de publications confisquées en Russie : de simples coïncidences, ou une nouvelle tendance ?

Saint-Pétersbourg, Russie – Une cargaison de publications religieuses destinées au Centre administratif des Témoins de Jéhovah de Russie a été confisquée à la frontière russo-finlandaise, à Vyborg, dans la région de Léningrad. La validation de la procédure d’importation habituelle a été remise à plus tard. Le douanier s’est référé à une nouvelle consigne stipulant que ce chargement devait être géré par un département spécial.

Cette rétention de littérature a commencé le 5 octobre 2009. Après 3 jours d’attente, des agents d’un service spécial sont arrivés. Sans s’être présentés, ils ont supervisé une inspection très poussée et inhabituelle de chaque article contenu dans les caisses du chargement. Il y a 31 palettes. Les agents – leurs représentants se nomment Goncharenko, Nikolayev et Grudakov – ont obtenu leurs droits d’entrée aux douanes en utilisant des identifiants d’employés du Département à la Gestion des formes dangereuses de Contrebande de la Division Nord des Douanes. Aucune information n’a été fournie sur ce que recherchaient ces agents, sur la durée du processus ni sur la date de récupération de la cargaison. En fin de compte, le 19 octobre, une explication écrite vague a été communiquée aux Témoins de Jéhovah, disant : « Les publications pourraient contenir des incitations à la discorde religieuse. » Pour autoriser la relaxe du chargement, des « documents confirmant qu’il n’y a pas de restriction sur l’importation des marchandises déclarées dans le territoire de compétence des douanes » sont demandés.

Quelques jours plus tôt, un véhicule de transport de fret appartenant à une compagnie de transports allemande, Globalsped, a été retenu à la frontière russe, près de Bryansk, alors qu’il se rendait au Kirghizistan via la Russie. Entre autres marchandises destinées à des destinataires privés, le véhicule transportait des publications religieuses des Témoins de Jéhovah en langue kirghize. Après avoir été confisqué par les douanes russes pendant un total de 14 jours, sans aucune explication, le chargement a été remis à disposition le mardi 13 octobre. On a déclaré au chauffeur que la littérature des Témoins de Jéhovah est sous le coup d’une interdiction en Russie.

Ces actions sans précédent semblent être une réaction au jugement de la Cour du District de Rostov selon lequel certaines publications des Témoins de Jéhovah sont « extrémistes ». Cependant, comme cette décision fait l’objet d’un appel auprès de la Cour suprême de la Fédération russe et est encore sans effet, la confiscation de publications se révèle non fondée et illégale.
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Biélorussie : les objecteurs de conscience de nouveau poursuivis

Le procès au pénal de Dmitry Smyk, Témoin de Jéhovah, qui avait débuté le 8 octobre à Gomel, se poursuivra le 29 octobre. Ce procès est la première poursuite judiciaire d’un objecteur de conscience au service militaire obligatoire pour motifs religieux depuis neuf ans, note Forum 18 News Service. « J’ai toujours essayé d’appliquer les principes bibliques dans ma vie. Elle montre que personne ne devrait se battre ou apprendre à se battre », a dit Smyk à Forum 18. Il a affirmé qu’il était prêt à réaliser un service civil alternatif, comme garanti aux termes de la Constitution de Biélorussie. Cependant, aucun mécanisme légal ne permettant d’appliquer ce point constitutionnel, le Commissariat militaire de Gomel se dit dans l’obligation de traduire les cas d’objection au service militaire en justice. « J’ai le droit de refuser mais je ne peux pas l’utiliser », explique Smyk. Deux autres Témoins de Jéhovah locaux, également objecteurs de conscience, ont été assignés en justice, et un autre cas est rapporté à Grodno.
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Les transfusions sanguines seraient potentiellement mortelles

Les transfusions sanguines sont utilisées en médecine depuis le 17e siècle. Il serait donc logique de penser que leur inocuité a été démontrée à maintes reprises. Or, il n’en est rien. Plusieurs études récentes suggèrent que cette technique soit en fait à l’origine de nombreuses complications.

Il est en particulier devenu évident que le sang stocké trop longtemps pourrait faire plus de mal que de bien. Plusieurs analyses ont mené à cette conclusion.

Un article publié dans le Critical Care a démontré que les patients auxquels du sang prélevé depuis plus de 28 jours a été administré risquent deux fois plus de mourir que ceux qui reçoivent du sang plus « frais ». Au Royaume-Uni, le sang peut légalement être stocké jusqu’à 35 jours.

Le Dr Philip Spinella, du Connecticut Children Medical Center (Etats-Unis), a déclaré : « Il serait plus profitable pour certains patients de ne pas recevoir de transfusion du tout, plutôt que de se voir administrer de vieux globules rouges. »

Les globules rouges perdent leur capacité à se déformer s’ils sont trop longtemps stockés. Or, sans cette particularité, ils ne peuvent pas mener efficacement à bien leur mission de délivrer de l’oxygène aux tissus. De plus, trop âgés, ils ont tendance à diffuser des acides gras dans le corps, ce qui provoque inflammations et coagulation. Sur 202 patients étudiés, cela a provoqué des cas de thrombose et de déficience organique. Il semble donc qu’en plus d’être inefficaces, ces globules défraîchis soient dangereux.

Comment se fait-il que les transfusions sanguines soient employées depuis si longtemps sans que l’on ait soulevé ces dangers ? L’explication réside en partie par la large utilisation et acceptation de cette pratique au sein du corps médical, et ce depuis longtemps.
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