Une étude canadienne portant sur 3842 patients stables subissant une chirurgie cardiaque a démontré que ceux auxquels des transfusions sanguines ont été administrées encouraient davantage de risques médicaux, y compris la mort, et ce de manière significative, que ceux qui n’ont pas reçu de sang. De plus, plus les transfusions ont été administrées tard, plus les résultats se sont révélés mauvais. L’étude met en lumière le besoin en techniques de conservation sanguine et ens procédures couvrant l’administration de produits sanguins aux patients ne risquant pas de mourir par conséquence directe de saignement, explique un expert en cardiologie.
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